lundi, janvier 31, 2005
Les lapsus c'est quand même vachement marrant.
(mais juste ceux des autres en fait)
What a wonderful world
Déjà, à la base, les retours à domicile post-vacanciers, j'ai du mal
Que le soleil soit totalement absent, passe encore (je peux tenir facile une semaine avec la dose que je viens de m'envoyer)
Que ma boîte aux lettre regorge de factures que de toutes façons je ne pourrai pas règler, c'est pas dramatique (oui, j'ai un sens des priorités très personnel)
Mais, les conscrits, là, je peux pas.
Principes de base pour ceux qui ne connaissent pas (et ils ne mesurent pas la chance qu'ils ont) :
Chaque année, les hommes (parce que c'est une fête macho) de bonne famille (parce que c'est une fête élitiste) concernés fêtent leur classe (autrement dit en 2005, tout ceux qui auront 20, 30, 40 ans, etc...) en se bourrant la gueule le plus possible (parce que c'est une fête très beauf-attitude) et en déboulant dans les rues au volant d'épaves et au sons de cornes de brumes, sifflets et autres chansons paillardes.
Et bien entendu, ce soir, c'est l'apothéose, l'embrasement d'un cercueil symbolique devant une assemblée de viande saoule et le summum des chansons à la con. Il est aussi d'usage de finir de détruire les véhicules le plus bruyament possible.
Et oui, j'avoue que dans ces moments là, le charme pitoresque des petites fêtes villageoises traditionnelles m'échappe totalement.
Que le soleil soit totalement absent, passe encore (je peux tenir facile une semaine avec la dose que je viens de m'envoyer)
Que ma boîte aux lettre regorge de factures que de toutes façons je ne pourrai pas règler, c'est pas dramatique (oui, j'ai un sens des priorités très personnel)
Mais, les conscrits, là, je peux pas.
Principes de base pour ceux qui ne connaissent pas (et ils ne mesurent pas la chance qu'ils ont) :
Chaque année, les hommes (parce que c'est une fête macho) de bonne famille (parce que c'est une fête élitiste) concernés fêtent leur classe (autrement dit en 2005, tout ceux qui auront 20, 30, 40 ans, etc...) en se bourrant la gueule le plus possible (parce que c'est une fête très beauf-attitude) et en déboulant dans les rues au volant d'épaves et au sons de cornes de brumes, sifflets et autres chansons paillardes.
Et bien entendu, ce soir, c'est l'apothéose, l'embrasement d'un cercueil symbolique devant une assemblée de viande saoule et le summum des chansons à la con. Il est aussi d'usage de finir de détruire les véhicules le plus bruyament possible.
Et oui, j'avoue que dans ces moments là, le charme pitoresque des petites fêtes villageoises traditionnelles m'échappe totalement.
Morceaux choisis :
- 1 voisin de TGV qui se cure le nez et s'en sert de plat de résistance pendant les 2 heures de trajet.
- 1 vieux marseillais de souche avec un accent impossible qui m'explique mon chemin pendant 20 minutes sans que je comprenne un seul mot.
- L'ascension pédestre jusque Notre-Dame de la Garde (1 poumon perdu sur le chemin, l'usage de l'autre arrivée devant le panorama).
- 1 charmant automobiliste qui pile en plein milieu d'un carrefour pour me dire que je suis réellement charmante© .
- des promotions spéciales Aïd affichées sur les devantures des sex-shops.
- 1 bouquiniste bien allumé qui me soutient que le Christ s'est fait descendre par un chat (bah oui, "Jesus est descendu par Minou")
- 1 thé en T-shirt sur une terrasse du vieux port.
- 1 chanson d'Elvis à tue-tête et très faux sous la douche pour la plus grande hilarité du gérant de l'hôtel.
- des petits-beurres à califourchon sur un mur de plus de 300 ans.
- les sourires fatigués des pêcheurs tout juste débarqués.
et bien trop d'odeurs, de couleurs, de sensations, d'émotions pour en faire une liste exaustive.
en bref : 'ting, comment c'était bieng'!
- 1 vieux marseillais de souche avec un accent impossible qui m'explique mon chemin pendant 20 minutes sans que je comprenne un seul mot.
- L'ascension pédestre jusque Notre-Dame de la Garde (1 poumon perdu sur le chemin, l'usage de l'autre arrivée devant le panorama).
- 1 charmant automobiliste qui pile en plein milieu d'un carrefour pour me dire que je suis réellement charmante© .
- des promotions spéciales Aïd affichées sur les devantures des sex-shops.
- 1 bouquiniste bien allumé qui me soutient que le Christ s'est fait descendre par un chat (bah oui, "Jesus est descendu par Minou")
- 1 thé en T-shirt sur une terrasse du vieux port.
- 1 chanson d'Elvis à tue-tête et très faux sous la douche pour la plus grande hilarité du gérant de l'hôtel.
- des petits-beurres à califourchon sur un mur de plus de 300 ans.
- les sourires fatigués des pêcheurs tout juste débarqués.
et bien trop d'odeurs, de couleurs, de sensations, d'émotions pour en faire une liste exaustive.
en bref : 'ting, comment c'était bieng'!
vendredi, janvier 28, 2005
jeudi, janvier 27, 2005
Chaik' m'envoyer en l'air
La première fois, j'étais toute môme.
L'avion d'un ami, un petit coucou, l'air fragile.
Les mains incrustées dans le siège mais le nez collé à la vitre.
Je ne suis plus que paroxysme.
Terrorisée.
Emerveillée.
J'exhulte.
Quelques années plus tard, l'ivresse.
Toujours rivée au hublot.
Je découvre la puissance.
Les longues distances.
Les aéroports gigantesques.
Le flux et reflux incessants des passagers.
Premier lever de soleil au 7eme ciel.
La tête dans les nuages.
La Forêt Noire sous les pieds.
J'apprend que la beauté peut me faire pleurer.
La dernière fois, il y a peu.
Petit ULM directorial.
Juste à sa vue, je frissonne de plaisir.
Survol des marais des dombes.
Les brumes qui se dissipent.
Nouvel orgasme occulaire.
Pas le temps de retrouver le contrôle de mon coeur.
Je me vois confier celui de l'appareil.
J'ai des papillons dans le ventre.
Le manche dans la main.
Et l'impression d'être Dieu.
Atterrissage physique en extase.
Spirituel toujours pas effectué.
Aujourd'hui ?
Une autre forme de vol.
De ceux qui font perdre les mots par la force des leurs.
De ceux qui laissent croire que la-bas tout ne pourrait être que luxe, calme et volupté.
L'avion d'un ami, un petit coucou, l'air fragile.
Les mains incrustées dans le siège mais le nez collé à la vitre.
Je ne suis plus que paroxysme.
Terrorisée.
Emerveillée.
J'exhulte.
Quelques années plus tard, l'ivresse.
Toujours rivée au hublot.
Je découvre la puissance.
Les longues distances.
Les aéroports gigantesques.
Le flux et reflux incessants des passagers.
Premier lever de soleil au 7eme ciel.
La tête dans les nuages.
La Forêt Noire sous les pieds.
J'apprend que la beauté peut me faire pleurer.
La dernière fois, il y a peu.
Petit ULM directorial.
Juste à sa vue, je frissonne de plaisir.
Survol des marais des dombes.
Les brumes qui se dissipent.
Nouvel orgasme occulaire.
Pas le temps de retrouver le contrôle de mon coeur.
Je me vois confier celui de l'appareil.
J'ai des papillons dans le ventre.
Le manche dans la main.
Et l'impression d'être Dieu.
Atterrissage physique en extase.
Spirituel toujours pas effectué.
Aujourd'hui ?
Une autre forme de vol.
De ceux qui font perdre les mots par la force des leurs.
De ceux qui laissent croire que la-bas tout ne pourrait être que luxe, calme et volupté.
Dernier inventaire avant rangeage total
- 1 paire de gants ;
- 1 lecteur MP3 ;
- 1 paquets de mouchoirs ;
- 1 sucette à la cerise ;
- 1 bouteille d'eau ;
- 1 horaire de train (au cas où, un jour, ils les respectent);
- 1 horaire de bus ;
- 1 pile ;
- de l'argent en vrac ;
- 1 porte-monnaie avec de l'argent pas en vrac ;
- 2 stylos ;
- 1 porte-mines ;
- 1 baton à ongles ;
- 2 paquets de chewing-gum ;
- 1 poudrier ;
- 2 troussaux de clés ;
- 1 organiseur (juste pour donner l'illusion d'une vague organisation) ;
- 1 tube de crème (pour avoir de belles mains de pêcheur islandais);
- 1 paquet de clopes (pas bien);
- 1 CD des Libertines ;
- 1 Charb ;
- 1 Libé ;
- 1 alien fluorescent (Uhu!) ;
- 1 portable ;
- 1 livre d'annales ;
- 1 livre pour arrêter de fumer (sans commentaires) ;
- 1 essai sur l'abolition du système pénal ;
- 1 pochette ;
- 1 alphabet pour les sourds ;
- 1 bague à la con ;
- les horaires de l'expo sur Andy Warhol ;
- 1 bracelet fétiche qui porte la poisse ;
- 1 carnet de notes.
Tssssss...
Matérialiste!
mercredi, janvier 26, 2005
Je crois bien que j'ai trouvé ma voie
La fonction publique, c'est l'Eldorado des charlots. C'est un peu la CSP des polios du neurones. C'est la plus grande concentration de possesseurs de poils dans la main. Ce sont des gens qui ne vivent que pour un seul but : La Glande Totale.
Mais si dès le départ, ils se plantent de dossier d'inscription, on peut objectivement considèrer que c'est pas gagné.
Mais si dès le départ, ils se plantent de dossier d'inscription, on peut objectivement considèrer que c'est pas gagné.
Psychologie du travail
Le truc quand mon Boss commence à changer de couleur et à hurler comme un forcené, c'est d'embrayer sur un sujet cul.
C'est basique, mais infaillible.
(Freud aurait été fier de moi)
C'est basique, mais infaillible.
(Freud aurait été fier de moi)
Intermittente de l'encéphale
Des fois, au réveil, j'ai des idées lumineuses.
Alors que d'autres, pas.
Alors que d'autres, pas.
Genre mettre une micro-jupe pour la journée la plus froide de l'hiver.
mardi, janvier 25, 2005
lundi, janvier 24, 2005
Hey-ho, Hey-ho.
Moins 7 sur l'échelle de ma motivation professionnelle.
Je me demande si j'ai déjà connu pire
Je me demande si j'ai déjà connu pire
dimanche, janvier 23, 2005
Bilan du week-end
- ai vérifié que je ne tenais toujours pas l'alcool.
- ai mis 20 bonnes minutes pour déterminer parmi les 8 clés de mon trousseau laquelle était celle qui, depuis bientôt 3 ans, me permettais d'ouvrir la porte de mon allée.
- ai fini mon stock d'herbe et ai décidé de ne pas le renouveler.
- ai permis au soleil de se lever largement avant moi.
- ai bravé la neige afin de calmer les ardeurs petit-déjeuniales de mon estomac.
- ai découvert un chef d'oeuvre d'érotisme grâce aux mains suggestives d'un inconnu.
- ai encore une fois réduit à néant mes quelques repères spaciaux en réaménageant l'appartement.
- ai appris qu'il était très mal vu de coucher avec son boss.
- ai commencé quelques vagues révisions pour le concours, surtout par les travaux pratiques en fait.
- ai testé les limites de la résistance auditive de mon voisin.
- ai mis 20 bonnes minutes pour déterminer parmi les 8 clés de mon trousseau laquelle était celle qui, depuis bientôt 3 ans, me permettais d'ouvrir la porte de mon allée.
- ai fini mon stock d'herbe et ai décidé de ne pas le renouveler.
- ai permis au soleil de se lever largement avant moi.
- ai bravé la neige afin de calmer les ardeurs petit-déjeuniales de mon estomac.
- ai découvert un chef d'oeuvre d'érotisme grâce aux mains suggestives d'un inconnu.
- ai encore une fois réduit à néant mes quelques repères spaciaux en réaménageant l'appartement.
- ai appris qu'il était très mal vu de coucher avec son boss.
- ai commencé quelques vagues révisions pour le concours, surtout par les travaux pratiques en fait.
- ai testé les limites de la résistance auditive de mon voisin.
vendredi, janvier 21, 2005
Charité bien ordonnée commence par moi
Au vue de la beuverie prévue en ce vendredi soir, je voudrais en profiter pour signaler a toute âme charitable que ça serait vachement sympa si on pouvait veiller à se que je grimpe ensuite dans le bon train.
Ma reconnaissance sera, à défaut d'être éternelle, très expansive (l'alcool, c'est bien, ca fait de bonnes excuses pour sauter sur tout ce qui passe, blaireaux y compris)
Ma reconnaissance sera, à défaut d'être éternelle, très expansive (l'alcool, c'est bien, ca fait de bonnes excuses pour sauter sur tout ce qui passe, blaireaux y compris)
parce que l'hibernation, c'est finalement un concept très surfait
mode[hystérique]on
JE VAIS ALLER VOIR A MARSEILLE SI J'Y SUIS !!!
mode [hysterique]off
mercredi, janvier 19, 2005
il est 5 heures, Chfaik s'éveille
Parce qu'au réveil, je n'ai pas encore élevé de rempart contre mes émotions, parce que ce que je lis sur certains blogs me touche plus qu'il ne devrait.
Il faut j'avoue que
Mon père c'est celui qui n'a pas pris peur quand ma mère est arrivée avec ses cinq enfants.
Mon père c'est celui qui en a même voulu un sixième malgré tout.
Mon père c'est celui qui a couru comme un dératé à la maternité pour connaitre "sa merveille"
Mon père c'est celui qui a répondu du mieux qu'il ait pu à mes incessantes questions.
Mon père c'est celui qui s'est élevé contre sa religion lorsqu'elle m'a rejetée.
Mon père c'est celui qui m'a appris à construire des cabanes d'indiens, des pistes pour courses d'escargots.
Mon père c'est aussi celui qui me prennait pour cible quand il avait trop bu.
Mon père c'est celui qui m'a fait mal, qui m'a fait peur.
Mon père c'est celui qui m'a appris le courage, le défi, contre lui, contre tout.
Mon père c'est celui qui m'a appris à encaisser en silence, à ne rien laisser transparaitre.
Mon père c'est celui que j'ai voulu tuer.
Mon père c'est celui que j'ai fait arrêter.
Mon père c'est celui qui a cherché ma main le jour ou la vie ne lui disait plus rien.
Mon père c'est celui qui a arrêté de boire par amour.
Mon père c'est celui qui ne veut plus me perdre, jamais.
Mon père c'est celui qui m'a fait voir les plus beaux levers de soleils.
Mon père c'est celui qui est resté digne le jour où il a perdu sa jambe.
Mon père c'est celui qui m'a montré qu'avec l'amour on pouvait tout.
Mon père c'est celui qui m'a appris la complicité.
Mon père, c'est celui qui m'a appris les silences chargés d'émotion.
Mon père c'est le seul homme à qui j'ai dit "je t'aime" sans conditions.
Mon père c'est celui qui m'a appris la vie dans tout ces aspects.
Mon père c'est celui, qui même s'il n'en est pas moins homme, je considère comme un héros.
Il faut j'avoue que
Mon père c'est celui qui n'a pas pris peur quand ma mère est arrivée avec ses cinq enfants.
Mon père c'est celui qui en a même voulu un sixième malgré tout.
Mon père c'est celui qui a couru comme un dératé à la maternité pour connaitre "sa merveille"
Mon père c'est celui qui a répondu du mieux qu'il ait pu à mes incessantes questions.
Mon père c'est celui qui s'est élevé contre sa religion lorsqu'elle m'a rejetée.
Mon père c'est celui qui m'a appris à construire des cabanes d'indiens, des pistes pour courses d'escargots.
Mon père c'est aussi celui qui me prennait pour cible quand il avait trop bu.
Mon père c'est celui qui m'a fait mal, qui m'a fait peur.
Mon père c'est celui qui m'a appris le courage, le défi, contre lui, contre tout.
Mon père c'est celui qui m'a appris à encaisser en silence, à ne rien laisser transparaitre.
Mon père c'est celui que j'ai voulu tuer.
Mon père c'est celui que j'ai fait arrêter.
Mon père c'est celui qui a cherché ma main le jour ou la vie ne lui disait plus rien.
Mon père c'est celui qui a arrêté de boire par amour.
Mon père c'est celui qui ne veut plus me perdre, jamais.
Mon père c'est celui qui m'a fait voir les plus beaux levers de soleils.
Mon père c'est celui qui est resté digne le jour où il a perdu sa jambe.
Mon père c'est celui qui m'a montré qu'avec l'amour on pouvait tout.
Mon père c'est celui qui m'a appris la complicité.
Mon père, c'est celui qui m'a appris les silences chargés d'émotion.
Mon père c'est le seul homme à qui j'ai dit "je t'aime" sans conditions.
Mon père c'est celui qui m'a appris la vie dans tout ces aspects.
Mon père c'est celui, qui même s'il n'en est pas moins homme, je considère comme un héros.
mardi, janvier 18, 2005
La littérature adouci les moeurs.
A l'image de la victime dans mon livre du moment, j'ai rêvé que je retrouvais Marlène au milieu de la rue avec une fourche plantée dans le ventre.
Sauf que ça m'a beaucoup moins attristé que pour le chien en fait.
Sauf que ça m'a beaucoup moins attristé que pour le chien en fait.
lundi, janvier 17, 2005
Constats en vrac :
- j'ai recu un cadeau de joyeuses Paques, je suis définitivement zoophile.
- Jean-Pierre m'a quitté ce matin à 5 heures à grand renfort de gyrophare et avec tout un cortège d'éboueurs, c'était très émouvant.
- 8 blaireaux dont 1 hors catégorie la semaine dernière, ça va être dur de faire pire (en tout cas je l'espère).
- j'excelle dans le free-style sur sol givré.
- mon téléphone est doué d'une vie propre.
- se faire les ongles dans la pénombre, c'est quand même risqué sur le résultat.
- la SNCF est mon ennemie.
- on ne répare pas un poste à grandes baffes.
- je ne suis pas une lamentable consommatrice de base, c'est juste qu'il était indispensable que je me procure une veste pour descendre les poubelles.
- j'aime bien faire rougir les internautes avec de subtils montages photographiques.
- Jean-Pierre m'a quitté ce matin à 5 heures à grand renfort de gyrophare et avec tout un cortège d'éboueurs, c'était très émouvant.
- 8 blaireaux dont 1 hors catégorie la semaine dernière, ça va être dur de faire pire (en tout cas je l'espère).
- j'excelle dans le free-style sur sol givré.
- mon téléphone est doué d'une vie propre.
- se faire les ongles dans la pénombre, c'est quand même risqué sur le résultat.
- la SNCF est mon ennemie.
- on ne répare pas un poste à grandes baffes.
- je ne suis pas une lamentable consommatrice de base, c'est juste qu'il était indispensable que je me procure une veste pour descendre les poubelles.
- j'aime bien faire rougir les internautes avec de subtils montages photographiques.
samedi, janvier 15, 2005
La minute de poésie
"C'est un peu comme quand on marche dans la merde.
On a beau essuyer sa pompe en prennant un air tout à fait dégagé, il reste l'odeur."©
Mon ex est sorti de taule.
Pan. je me reprend 15 ans de cité dans la gueule.
Et tout ce qui va avec.
[Edit] Merci pour les mails, mais c'est pas non plus dramatique, c'est juste que ça me casse les couilles (oui, j'aime les expressions toutes pleines d'élégance) quand le passé me tire vers le bas.[/Edit]
On a beau essuyer sa pompe en prennant un air tout à fait dégagé, il reste l'odeur."©
Mon ex est sorti de taule.
Pan. je me reprend 15 ans de cité dans la gueule.
Et tout ce qui va avec.
[Edit] Merci pour les mails, mais c'est pas non plus dramatique, c'est juste que ça me casse les couilles (oui, j'aime les expressions toutes pleines d'élégance) quand le passé me tire vers le bas.[/Edit]