What a wonderful world
Déjà, à la base, les retours à domicile post-vacanciers, j'ai du mal
Que le soleil soit totalement absent, passe encore (je peux tenir facile une semaine avec la dose que je viens de m'envoyer)
Que ma boîte aux lettre regorge de factures que de toutes façons je ne pourrai pas règler, c'est pas dramatique (oui, j'ai un sens des priorités très personnel)
Mais, les conscrits, là, je peux pas.
Principes de base pour ceux qui ne connaissent pas (et ils ne mesurent pas la chance qu'ils ont) :
Chaque année, les hommes (parce que c'est une fête macho) de bonne famille (parce que c'est une fête élitiste) concernés fêtent leur classe (autrement dit en 2005, tout ceux qui auront 20, 30, 40 ans, etc...) en se bourrant la gueule le plus possible (parce que c'est une fête très beauf-attitude) et en déboulant dans les rues au volant d'épaves et au sons de cornes de brumes, sifflets et autres chansons paillardes.
Et bien entendu, ce soir, c'est l'apothéose, l'embrasement d'un cercueil symbolique devant une assemblée de viande saoule et le summum des chansons à la con. Il est aussi d'usage de finir de détruire les véhicules le plus bruyament possible.
Et oui, j'avoue que dans ces moments là, le charme pitoresque des petites fêtes villageoises traditionnelles m'échappe totalement.
Que le soleil soit totalement absent, passe encore (je peux tenir facile une semaine avec la dose que je viens de m'envoyer)
Que ma boîte aux lettre regorge de factures que de toutes façons je ne pourrai pas règler, c'est pas dramatique (oui, j'ai un sens des priorités très personnel)
Mais, les conscrits, là, je peux pas.
Principes de base pour ceux qui ne connaissent pas (et ils ne mesurent pas la chance qu'ils ont) :
Chaque année, les hommes (parce que c'est une fête macho) de bonne famille (parce que c'est une fête élitiste) concernés fêtent leur classe (autrement dit en 2005, tout ceux qui auront 20, 30, 40 ans, etc...) en se bourrant la gueule le plus possible (parce que c'est une fête très beauf-attitude) et en déboulant dans les rues au volant d'épaves et au sons de cornes de brumes, sifflets et autres chansons paillardes.
Et bien entendu, ce soir, c'est l'apothéose, l'embrasement d'un cercueil symbolique devant une assemblée de viande saoule et le summum des chansons à la con. Il est aussi d'usage de finir de détruire les véhicules le plus bruyament possible.
Et oui, j'avoue que dans ces moments là, le charme pitoresque des petites fêtes villageoises traditionnelles m'échappe totalement.
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