mardi, décembre 20, 2005
samedi, décembre 10, 2005
Dixit
# "T'as les pieds qui dépassent du corps"
# "T'as le thymus en berne"
# "T'as le thymus en berne"
Oui, en même temps, on a les compliments qu'on peut...
vendredi, décembre 09, 2005
Chiendent Hallucinogène
Et au détour d'une conversation avec Pouy, apprendre qu'il a failli écrire un Harlequin...
mardi, décembre 06, 2005
Tempus fugit
Je prend le café avec une souris d'1m70, je testedegrossessive, je fnuckule des tas de gens, je travaille ma sous-culture nanardesque, je projetise à la pointe du Raz, j'écoute soeur Emmanuelle jouter avec Duries, je redécouvre chaque jour à quel point je l'aime, je fondante au chocolat, je cherche des manuscrits perdus, je RamonPerize, j'illumine pas, je remue des orteils, je reformate, j'espère, je ressents, j'aspire, je rêve, je ris... à vrai dire, je vis.
lundi, novembre 28, 2005
De la naissance des évidences
L'idée même me taraude depuis longtemps. Ca n'a pas toujours été le cas. Elle est apparue doucement, insidieusement. D'abord simple envie fugitive, elle s'est tapie dans un coin de mon esprit, pour croitre, enfler, se développer.
Elle n'était pas très génante, il suffisait de la garder dans un coin, comme un truc qu'on ressortirait à l'occasion, le moment venu. Elle attendait, patiente.
Il y a quelques temps, elle a décidé de ressurgir, violente. Elle a su que ce serait lui, qu'il ne pouvait en être autrement. Je la sens trépigner au fond de mon ventre, insolente, péremptoire, dès que ses mains se posent sur elle, sur ce vide qu'elle entend combler.
Hier, elle a su le moment, elle a vu le fait tangible à venir. Elle a perdu le besoin de s'affirmer, de lutter pour exister.
Hier, l'idée est morte, elle a laissé la place à l'évidence.
Elle n'était pas très génante, il suffisait de la garder dans un coin, comme un truc qu'on ressortirait à l'occasion, le moment venu. Elle attendait, patiente.
Il y a quelques temps, elle a décidé de ressurgir, violente. Elle a su que ce serait lui, qu'il ne pouvait en être autrement. Je la sens trépigner au fond de mon ventre, insolente, péremptoire, dès que ses mains se posent sur elle, sur ce vide qu'elle entend combler.
Hier, elle a su le moment, elle a vu le fait tangible à venir. Elle a perdu le besoin de s'affirmer, de lutter pour exister.
Hier, l'idée est morte, elle a laissé la place à l'évidence.
vendredi, novembre 25, 2005
jeudi, novembre 24, 2005
Chfaik vs soeur Emmanuelle
Ca a commencé insidieusement, juste un petit opuscule de prières pour le carême, avec soeur Emmanuelle en couv. Je ne me suis pas méfiée, je l'ai gardé quelques temps pour le fun et puis je l'ai jeté, pensant en avoir fini avec elle.
Mais pas elle, visiblement.
L'apparition suivante se fit au fond de la boîte aux lettre dimanche dernier. En cassette cette fois.
Une écoute attentive ne nous a rien révélé.
Hier, deux de ses livres étaient anonymement déposés sur notre boîte aux lettres.
Pas d'explications, juste quelques mots griffonées à la hâte, indéchiffrables.
Le mystère de soeur Emmanuelle s'épaississait un peu plus.
Les investigations menées dans notre entourage sont restées vaines.
Qui ?
Pourquoi nous ?
Dans quel but ?
Rien.
Les voies d'emmanuelle sont elles-aussi impénétrables.
Il y a quelques instants, j'ai découvert ceci :
Et j'avoue, je commence à avoir peur...
Mais pas elle, visiblement.
L'apparition suivante se fit au fond de la boîte aux lettre dimanche dernier. En cassette cette fois.
Une écoute attentive ne nous a rien révélé.
Hier, deux de ses livres étaient anonymement déposés sur notre boîte aux lettres.
Pas d'explications, juste quelques mots griffonées à la hâte, indéchiffrables.
Le mystère de soeur Emmanuelle s'épaississait un peu plus.
Les investigations menées dans notre entourage sont restées vaines.
Qui ?
Pourquoi nous ?
Dans quel but ?
Rien.
Les voies d'emmanuelle sont elles-aussi impénétrables.
Il y a quelques instants, j'ai découvert ceci :
Et j'avoue, je commence à avoir peur...