Si je trouve celui qui vient de me dépouiller mon compte jusqu'au dernier centime...
Je lui lierai les mains, lui couperai les cheveux et le placerai sur l'échelle.
Je lui jetterai de l'alcool sur la tête et y mettrai le feu pour brûler la chevelure jusqu'aux racines.
Je lui placerai des morceaux de soufre sous les bras et autour du cou, et les enflammerai.
Je lui lierai les mains derrière le dos et l'élèverai jusqu'au plafond. Là, je le laisserai suspendu pendant trois ou quatre heures jusqu'au petit déjeuner.
A mon retour, je lui aspergerai le dos d'alcool et y mettrai le feu.
Je lui attacherai de très lourds poids au corps et l'élèverai à nouveau.
Après cela, je lui placerai le dos contre une planche hérissée de pointes acérées et le remonterai une fois de plus jusqu'au plafond.
Je lui comprimerai alors les pouces et les gros orteils dans les vis et lui frapperai les bras avec un bâton.
Je le laisserai ainsi suspendu pendant un quart d'heure jusqu'à ce qu'il s'évanouisse.
Puis je lui presserai les mollets et les jambes à la vis.
Je le fouetterai ensuite avec un fouet conditionné pour le faire saigner.
A nouveau, je lui placerai pouce et gros orteils dans les vis, de six à treize heures, pendant que j'irai manger un peu.
Ou alors :
Je le mettrai tout nu et le porterai sur le chevalet (il s'agit d'un chevalet vertical posé contre le mur) où je le suspendrai avec deux petites cordes. Etant hissé à la hauteur voulue, je tirerai ses jambes de chaque côté du chevalet, attacherai une corde sur chacune de ses chevilles et tirerai les cordes ensuite vers le haut, obligeant ses genoux à toucher les deux planches jusqu'à ce qu'éclatent ses jarrets. Je le pendrai ainsi pendant plus d'une heure. Ensuite je placerai son bras droit au dessus du gauche enroulerai sept fois de suite une corde autour des deux bras et me tenant sur le dos raidissant mes pieds contre son ventre, tirerai de telle sorte les cordes que je lui couperai les tendons des bras et mets ses os à nu si bien qu'il sera estropié pour le reste de ses jours. Alors ses yeux commenceront à sortir, sa bouche se mettra à mousser et à écumer, et ses dents à remuer comme des baguettes de tambours.Mais en dépit de ses lèvres tremblantes, de ses soupirs, du sang jaillissant de ses bras, de ses tendons brisés, de ses jarrets et de ses genoux, je continuerai à frapper sa figure avec des gourdins pour arrêter ses cris de terreur. Alors son corps tremblant sera porté sur un chevalet plat, sa tête pendante placée dans un trou circulaire, son ventre en l'air, ses bras et pieds ligotés, car il devra endurer ses pires supplices. Ensuite je passerai des cordes sur le gras de ses jambes, le milieu de ses cuisses et de ses bras, et ces cordes seront attachées à ses chevilles. Il souffrira sept tortures, chaque torture consistant en une torsion complète des chevilles. Alors je prendrai un pot plein d'eau dont le fond troué légèrement sera placé près de sa bouche. Au début, il l'acceptera avec joie, car il souffrira d'une soif écorchante et n'aura rien bu depuis trois jours. Mais lorsqu'il verra que j'essayerai de le forcer à boire, il fermera les lèvres. Ensuite on lui écartera les dents avec une paire de pinces en fer. Son ventre commençera à grogner terriblement à la manière d'un tambour, il ressentira une peine suffocante avec sa tête penchée vers le sol, l'eau regorgeant dans sa gorge, étranglant et arrêtant sa respiration. Il demeurera six heures sur ce chevalet. Au soir, je lui aurai infligé soixante tortures diverses et continuerai encore une demi heure bien que son corps sera couvert de sang, qu'il sera percé de part en part, que ses os seront broyés ou meurtris et en dépit de ses hurlements, de ses lèvres et du grincement de ses dents. Aucun homme, je le jure, ne pourra concevoir les peines qu'il endurera ni l'anxiété de son esprit. Quand je l'arracherai du chevalet l'eau jaillira de sa bouche. je mettrai des fers sur ses jambes brisées et le reconduirai dans son donjon. Chaque jour je le menaçerai de tortures nouvelles s'il refuse de me rendre mon argent. J'ordonnerai que toute la vermine de la cellule soit balayée et placée sur son corps nu ce qui le fera souffrir mille morts.
Je lui jetterai de l'alcool sur la tête et y mettrai le feu pour brûler la chevelure jusqu'aux racines.
Je lui placerai des morceaux de soufre sous les bras et autour du cou, et les enflammerai.
Je lui lierai les mains derrière le dos et l'élèverai jusqu'au plafond. Là, je le laisserai suspendu pendant trois ou quatre heures jusqu'au petit déjeuner.
A mon retour, je lui aspergerai le dos d'alcool et y mettrai le feu.
Je lui attacherai de très lourds poids au corps et l'élèverai à nouveau.
Après cela, je lui placerai le dos contre une planche hérissée de pointes acérées et le remonterai une fois de plus jusqu'au plafond.
Je lui comprimerai alors les pouces et les gros orteils dans les vis et lui frapperai les bras avec un bâton.
Je le laisserai ainsi suspendu pendant un quart d'heure jusqu'à ce qu'il s'évanouisse.
Puis je lui presserai les mollets et les jambes à la vis.
Je le fouetterai ensuite avec un fouet conditionné pour le faire saigner.
A nouveau, je lui placerai pouce et gros orteils dans les vis, de six à treize heures, pendant que j'irai manger un peu.
Ou alors :
Je le mettrai tout nu et le porterai sur le chevalet (il s'agit d'un chevalet vertical posé contre le mur) où je le suspendrai avec deux petites cordes. Etant hissé à la hauteur voulue, je tirerai ses jambes de chaque côté du chevalet, attacherai une corde sur chacune de ses chevilles et tirerai les cordes ensuite vers le haut, obligeant ses genoux à toucher les deux planches jusqu'à ce qu'éclatent ses jarrets. Je le pendrai ainsi pendant plus d'une heure. Ensuite je placerai son bras droit au dessus du gauche enroulerai sept fois de suite une corde autour des deux bras et me tenant sur le dos raidissant mes pieds contre son ventre, tirerai de telle sorte les cordes que je lui couperai les tendons des bras et mets ses os à nu si bien qu'il sera estropié pour le reste de ses jours. Alors ses yeux commenceront à sortir, sa bouche se mettra à mousser et à écumer, et ses dents à remuer comme des baguettes de tambours.Mais en dépit de ses lèvres tremblantes, de ses soupirs, du sang jaillissant de ses bras, de ses tendons brisés, de ses jarrets et de ses genoux, je continuerai à frapper sa figure avec des gourdins pour arrêter ses cris de terreur. Alors son corps tremblant sera porté sur un chevalet plat, sa tête pendante placée dans un trou circulaire, son ventre en l'air, ses bras et pieds ligotés, car il devra endurer ses pires supplices. Ensuite je passerai des cordes sur le gras de ses jambes, le milieu de ses cuisses et de ses bras, et ces cordes seront attachées à ses chevilles. Il souffrira sept tortures, chaque torture consistant en une torsion complète des chevilles. Alors je prendrai un pot plein d'eau dont le fond troué légèrement sera placé près de sa bouche. Au début, il l'acceptera avec joie, car il souffrira d'une soif écorchante et n'aura rien bu depuis trois jours. Mais lorsqu'il verra que j'essayerai de le forcer à boire, il fermera les lèvres. Ensuite on lui écartera les dents avec une paire de pinces en fer. Son ventre commençera à grogner terriblement à la manière d'un tambour, il ressentira une peine suffocante avec sa tête penchée vers le sol, l'eau regorgeant dans sa gorge, étranglant et arrêtant sa respiration. Il demeurera six heures sur ce chevalet. Au soir, je lui aurai infligé soixante tortures diverses et continuerai encore une demi heure bien que son corps sera couvert de sang, qu'il sera percé de part en part, que ses os seront broyés ou meurtris et en dépit de ses hurlements, de ses lèvres et du grincement de ses dents. Aucun homme, je le jure, ne pourra concevoir les peines qu'il endurera ni l'anxiété de son esprit. Quand je l'arracherai du chevalet l'eau jaillira de sa bouche. je mettrai des fers sur ses jambes brisées et le reconduirai dans son donjon. Chaque jour je le menaçerai de tortures nouvelles s'il refuse de me rendre mon argent. J'ordonnerai que toute la vermine de la cellule soit balayée et placée sur son corps nu ce qui le fera souffrir mille morts.
1 Comments:
Chfaik(25.8.05 12:12):
Le Monsieur du Trésor Public a eu trèstrès peur, m'a restitué l'argent, et, ponctué d'une pichnette à l'oreille, je lui ai dit "file, petit, et que j't'y reprenne plus".
L'amant Darine(24.8.05 23:56):
Il y a un happy-end ?
Chfaik(23.8.05 16:21):
Spagrave, c'est juste hormonal.
Mask(23.8.05 15:29):
Wo ptain...
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