lundi, juin 13, 2005

Quand je te dis qu'on dirait le sud

Avant dans les champs que je longeais en train, je croisais des chevaux, des vaches, des moutons, rien que de très banal quoi. Mais grâce à l'effet de serre, les choses ont changé. Alors je dis merci au réchauffement de la planète sans qui je ne serais jamais passée devant des troupeaux de dromadaires en plein val de saône.

Par contre, le blaireau lyonnais lui est toujours immuable.