N'empêche, j'en ligoterai bien un sur les rails
J'étais quand même bien partie pour dauber contre la Sncf, ses grêves à répétitions qui m'obligent à me lever à des heures indécentes alors que pour les même raisons j'étais rentrée à des heures tout aussi indécentes, à laisser s'écouler toute ma rancoeur de pauvre petit usager pris en otage et racketté chaque mois pour un service quasi inexistant ou du moins des plus fantaisistes, j'étais prête à passer en mode ralage intense, totalement inconstructif, et ce dès le premier orteil posé au sol...
Et pis en fait,
Non.
Parce que ce matin, je me suis posée par terre devant ma fenêtre avec mon café, et je l'ai vu se lever, dès les tout premiers rayons frémissants
Alors après, les petites emmerdes quotidiennes, kénafout' ?
Commis par Chfaik (ou Jésus Christ) à 6:07 PM
1 Comments:
Chfaik(3.6.05 22:03):
C'est bon de se voir soutenue, même par les loutres...
Chtrak, l'avantage de vivre sous les toits (et là me viennent en tête tout les inconvénients de ne pas vivre avec toi), c'est que, comme tu as pu le constater, les fenêtres sont limite ras le sol, donc si la prochaine fois que tu essaies tu vois une plinte, vérifies que tu n'es pas assis devant la porte.
Chtrak(3.6.05 11:48):
C'est drôle, j'ai vécu similairement la même chose hier soir. excedé par un paquet de choses, dont mon incapacité manifeste à coordonner mes deux mains et ma tête quand je bricole, avant d'aller me coucher, j'ai été m'allonger à plat dos dans l'herbe du jardin, une fois la nuit largement tombée et j'ai dû passer un bon quart d'heure à me perdre dans les étoiles et à rêvasser de choses et d'autres, pour finir par me dire quand tant que le ciel était toujours au dessus de nos têtes et les étoiles visibles, il y avait encore du bon à prendre chaque jour et bien des tracas à relativiser.
N'emepche que c'est là qu'on voit que t'es grande : moi je m'assoie devant la fenetre par terre, je vois les plinthes.
La loutre(2.6.05 21:40):
Toutafé.
Bon ok je me lève trop tard pour le voir se lever et je prends pas le métro mais...
toutafé.
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