En somme, hantise du mal dedents
Plus de mains sous lesquelles frémir, plus de peau à parcourir, plus de lèvres à effleurer, plus de creux d'oreille où murmurer, plus de regard où se noyer.
Juste le vide effrayant des draps, l'absence qui entoure de ses bras, l'odeur de son corps s'évaporant peu à peu, le silence de la nuit à peine troublé de quelques mots désincarnés.
Etouffer ses maux après ses larmes, sentir l'absence oppresser, s'asphyxier de trop d'air.
Mais savoir malgré tout, que maintenant ce ne sont que les jours qui ne font que passer.
Juste le vide effrayant des draps, l'absence qui entoure de ses bras, l'odeur de son corps s'évaporant peu à peu, le silence de la nuit à peine troublé de quelques mots désincarnés.
Etouffer ses maux après ses larmes, sentir l'absence oppresser, s'asphyxier de trop d'air.
Mais savoir malgré tout, que maintenant ce ne sont que les jours qui ne font que passer.
1 Comments:
Chfaik(17.5.05 21:52):
C'est douloureux surtout, l'Ami Darine.
Je me mets donc en quête
Pour m'occuper la tête
Et ainsi tenter d'oublier
A quel point vous me manquez...
Chtrak(17.5.05 14:59):
Pour le vide oublier
et l'absence palier
Une chose te rappeller
Une carte trouver.
Il s'agit d'un tablier
de sapeur, non de boucher,
Pour venir l'apposer
sur le mur refait
d'un futur chénou frais.
L'amant Darine(17.5.05 13:37):
C'est joli...
Pas de bonbons, mais le coeur y est.
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