lundi, février 07, 2005

Point. Adrenaligne. Ouvrez les guillemets.

Je finis toujours mon petit panorama bloggien par celui-là. Parce que je prend le temps d'observer chaque mot, de savourer les images qu'ils font naître, parce qu'on garde toujours le meilleur pour la fin.
Mais là, au bout de quelques lignes, le rythme cardiaque s'accélère, le doute s'installe.
Après quelques paragraphes, inconsciement levée du siège, je jette un coup d'oeil interrogateur à la fenêtre (ce qui est d'autant plus idiot puisqu'elle ne donne pas sur la porte d'entrée).
A la fin du texte, j'ai les joues en feu, les jambes en coton, et je sais que si l'interphone sonne maintenant, je serai l'une des plus jeunes victimes d'arrêt cardiaque.
A défaut, j'oscille entre morte de trouille et morte d'envie.