dimanche, février 20, 2005

Comment pouvez-vous douter de ma mauvaise foi ?

Non-non, je ne bulotte (du mollusquien bulot, gastéropode léthargique) éhontément derrière mon PC. Je fésais youste oune petite pause, juste pour éviter la rupture du neurone, le claquage cortexien.
Oui, parce que mine de rien, ça fait quand même un bail que j'ai pas sollicité ma matière grise dans un but révisionniste. Je peux même dire que ça doit être la première, puisqu'il faut bien avouer que les révisions bachelières tenaient plus de beuveries au billard-club, et que les DEUGales étaient vouées au roulage d'herbe locale sur les toits de la fac.
Spourça en fait que je m'acclimate au travail annalgésique qu'à petites doses et que je me retrouve à décontraster avec des archives anti-rides, un thé brulant (parce que c'est bon pour mon corps) et du pain de mie grillé (parce que je suis incapable de me désintoxiquer)et non pas parce que je suis une glandeuse convaincue et irrécupérable doublée d'une goinfre sans la moindre volonté alimento-restrictive.

J'espère avoir dissipé tout malentendu.